La Défense, Tour Y… 30Ème Étage.

Pour aider financièrement à mes études à la Fac’ de Nanterre, j’ai trouvé un emploi de coursier dans une entreprise établie sur le quartier d’affaires de la Défense… Je me déplace principalement à pied ou à vélo car je me suis spécialisé dans les entreprises du secteur.

J’ai une grosse enveloppe à déposer dans l’entreprise X… située au 23ème étage de la tour Y…
C’est l’heure de la reprise du travail après la pause de midi et il y a pas mal de monde dans les ascenseurs.
Mon choix s’est porté sur un des appareils rapides qui ne dessert que les 10ème et 20ème étages avant de desservir chacun des dix derniers étages.
A chaque arrêt la cabine se vide et lorsque les portes se referment au 20ème, je me retrouve seul avec une femme d’environ 40 ans, certainement un cadre d’une des entreprises située dans les derniers étages de la tour.
Je le trouve très jolie et je la regarde à la dérobé, imaginant quels trésors elle cache sur son tailleur strict… Décidément, je ne me referai jamais…

La cabine a à peine redémarré qu’elle se bloque entre deux étages… Les lumières s’éteignent et il ne reste plus que l’éclairage de sécurité qui l’illumine faiblement…
Je me précipite sur le tableau de commande et j’actionne à nouveau le bouton du 23ème, espérant faire repartir cet engin… mais je heurte malencontreusement la femme qui est avec moi et ma main droite touche sa poitrine que je trouve bien ferme…
• Oh… le coquin !
C’est tout ce qu’elle trouve à dire… puis au moment où les lumières reviennent, elle sort une clé qui annule la programmation de l’ascenseur et appuie sur la touche du dernier étage.
• Mais je ne vais pas là… j’ai une enveloppe à livrer au 23ème !
• T’inquiète… J’ai bien vu comment tu me reluquais… Je te plais ?
Je ne sais plus où me mettre et je bafouille lamentablement des excuses… pendant qu’elle poursuit :
• J’ai une demie heure avant mon rendez-vous… je sens qu’on va bien occuper ce temps ! Viens suis moi !

Nous arrivons au 30ème étage et mon interlocutrice me guide vers une pièce d’où on distingue au loin, l’Arc de Triomphe et l’avenue de la Grande Armée.

Me poussant le long d’une table, elle se met à genoux devant moi et d’une main fébrile, elle ouvre le zip de mon pantalon et abaissant mon boxer, elle s’empare de mon sexe déjà à moitié bandé.
Waouh… quelle pipeuse… en quelques minutes, je bande comme un taureau…
Elle se relève, remonte sa jupe à sa taille et en me tendant un préservatif, elle m’ordonne :
• Baise-moi ! J’ai envie d’une jeune queue !
Elle porte un serre taille qui maintient des bas à jarretelles noirs et un string minimaliste dont je n’ai aucune peine à faire glisser le cordon sur une fesse !
Elle m’encourage :
• Baise-moi… Fais-moi jouir comme une catin !
Je me couvre et je l’embroche séchement en luisant :
• Çà te va comme çà ?
• Oouuuiii ! Enfile-moi bien en levrette ! J’adore !

Notre copulation est rapide et au moment où elle jouit, je me lâche à mon tour au fond du préservatif…
• Bon… maintenant au boulot !

Nous nous rajustons…
Pas de perte de temps en fioritures…
Elle a eu ce qu’elle voulait et moi, je repense à ma chance en allant déposer mon enveloppe au 23ème étage !